Là au soleil , ton sourire [Pv Bill]

Là au soleil , ton sourire

J'attendais en vain assise sur mon bureau à côté de cette maudite porte , regardant ma montre de temps à autre pour compter les minutes à encore passer dans cette maudite salle de math. Le prof était un vieux prof dégarnie qui nous parlait de la trigonométrie avec si peu d'entrain que ça me filait le bourdon. Plus que 5 petite minutes. Mes doigts tapait en rythme contre le bois de ce petit bureau ridiculement sobre. Les minutes coulaient aussi lentement qu'un escargot avancant sur les dalles de la cours mouillée par la pluie. 3 minutes à présents et le prof nous demanda seulement de prendre notre feuille pour une petite intérro surprise.Mais le temps que celui ci retrouve sa propre feuille avec les questions la sonnerie retentit pour nous lacher dans l'école. Je passa en vitesse à mon casier pour y déposer mes cours si imposant pour l'activité qui me trotais dans la tête depuis que j'ai vu ce merveilleux soleil par la fenêtre alors que ma journée était si terne. Entrant dans ma chambre je changea mon pantalon noir qui étouffais mes jambes depuis le début de la journé , enfila mon bikini noir et ma robe couleur anis. Marchant dans les murs de notre belle écoles traversant tout son terrain , son parc , sa forêt pour atteindre enfin la cascade coulant d'une eau claire et bleu. Enlevant ma robe et mes escarpins et les déposant sur une pierre non loin de là , je plongea dans l'eau pour nager un peu en paix. L'eau fraiche raffraichissait mon corps et le soleil fessait reflété des éclats sur mon visage. La solitude ne fut pas si longue puisq'une branche craqua derrière moi pour me faire par d'une présence. Me retournant je vit une silhouette d'homme apparraitre parmis les arbres de la forêt , reconnaissant Bill Scott le chanteur de Total Hysterical , un des nombreux groupe de l'école. J'aurais pu me faire toute petite face à lui mais je ne suis décidément pas comme ça et ne le serait jamais.

Lizzy:- Salut Bill. Toi aussi envie d'une baignade?

Je lui sourit de mon plus beau sourire mais pas de celui qui drague car je sais depuis quelques temps que son coeur est pris par April Summers. C'était quand même dommage , Bill est concidéré , par moi bien entendu, dans le top cinq des mecs les plus canons de Rock Magik bien que lui et april forment un très beau couple.

Bill Scott se trouvait en ce moment même en classe, en train de s’ennuyer. Ce que le professeur racontait ne l’intéressait pas vraiment. Les cours ce n’est certainement pas son truc. Surtout quand il s’agit d’Histoire. Après tout, ça leur servira à quoi de connaître l’histoire de l’Amérique par cœur. De savoir des dates par cœur. Enfin pour Bill, ça n’a pas d’importance, sachant qu’il veut faire sa vie dans la musique, rien d’autre. L’androgyne n’a pas d’autres idées de métiers en tête. Depuis petit, il rêve avec son frère de faire de la musique. Quoi que aller en cours, ça lui sert tout de même. La plupart de ses textes, il les écrit en plein cours. Avec du bol, le jeune homme ne s’était jamais fait prendre et renvoyé de cours. De plus, à cet instant il n’avait pas vraiment envie d’écrire des textes, mais plutôt envie de sortir dehors et ainsi profiter de ce beau temps qui était au rendez vous en ce jour de cours. Peut être que l’androgyne ira faire un tour à la cascade pour se rafraichir un peu. Enfin avant tout, il partira à la recherche d’April pour voir si elle voulait venir en sa compagnie. Cela faisait longtemps que le couple n’avait pas passé une journée rien que tous les deux.

La sonnerie de l’école venait à l’instant de sonner. Rapidement, le sac de l’androgyne se retrouva sur son épaule, avant de sortir de la salle de torture. Bill n’a plus cours maintenant, fini. Il se dirigea rapidement à son casier, déposer ses affaires de cours, avant de commencer à chercher April dans les couloirs. Il se retrouva bien vite devant sa chambre, et toqua. Alors qu’il s’attendait à tomber sur sa petite amie, il tomba sur une de ses colocataires qui lui dit qu’April n’était pas là. Bon tant pis, il ira tout seul à la cascade. L’androgyne rentra alors dans sa chambre pour préparer son sac, avec une serviette, son portable, son iPod, des feuilles et un stylo au cas où l’inspiration lui viendrait. Il retira ses vêtements, pour pouvoir enfiler son short de bain, avant de s’habiller comme avant, d’un jean slim, et d’un tee shirt. Ses lunettes sur le nez, il se dirigea donc vers la cascade, avec évidemment son sac qu’il avait préparé.

Arrivé là bas, Bill remarqua une autre présence. Il s’agissait d’une jeune femme qu’il avait déjà croisé à plusieurs reprises dans le lycée, sans vraiment lui adresser la paroles, étant assez timide. Bill n’est pas le genre d’homme à aller vers les autres, pour taper la discut’. C’est plus le rôle des autres de venir vers Bill pour lui parler. De toute façon, l’androgyne n’a jamais eu l’habitude d’aller vers les autres, étant tout le temps rejeté à cause de son look. Au moins, le jeune homme est sûr de ne pas se faire remballer. Mais bon la plupart des étudiants à Rock Magik sont matures, alors la plupart ne juge pas par le look de l’androgyne. D’ailleurs en arrivant, il eut juste le temps de poser son sac, que la jeune femme dans l’eau, dont il connaissait tout de même le prénom, lui adressa la parole.

« Comme tu peux le voir oui, je voulais profiter de ce temps »

Bill lui sourit, avant de retirer délicatement son tee shirt, faisait attention à sa crête, qui ne ressemblera sûrement plus à rien, quand il partira de la cascade. Il retira ensuite rapidement ses chaussures, chaussettes et pantalon, avant de rentrer doucement dans l’eau. L’androgyne est une personne assez frileuse à vrai dire.

« Lizzy, c’est ça ? Si je ne me trompe pas. »

Bill:- Comme tu peux le voir oui, je voulais profiter de ce temps.

Je riait voyant les précautions que prenait Bill pour garder sa coiffure intacte. Il semblait pourtant savoir que ses efforts allaient être vain quand il plongerait dans l'eau et que ses cheveux allaient lui retombés sur le visage. Pourtant il entra délicatement dans l'eau pour garder ses efforts encore un peu plus longtemps. Mais c'étais sans compter sur moi.

Bill:- Lizzy, c’est ça ? Si je ne me trompe pas.

Lizzy:- Oui c'est bien ça. Tu ne te trompe pas du tout. Tu sais quand on viens ce baigner c'est pour être mouiller.

Je lui envoya une grande vague d'eau en rigolant. Quand je m'y mettais je pouvais être une grande gamine toujours prète à s'amuser et à faire les pires conneries. Il n'y a pas qu'en boite que je peux devenir une folle et m'éclater. Je regardait Bill trempés jusqu'aux os se regarder entièrement comme si quelque chose ne lui plaisait pas. Je m'éloigna un peu de lui de peur d'avoir des foudres du jeune androgyne. Je ne pouvais m'arrêté de rire face au spectacle que Bill offrait à mes yeux. Je recula de plus en plus oubliant qu'il y a un énorme trou comme changement de profondeur. Je coula quelques secondes avant de remonter et d'éclater de rire à nouveau.

Lizzy:- Interdiction de se foutre de moi.

Je soulève mes cheveux qui me retombaient sur le visage. tout trempé et dégoulinent d'eau claire. Je secoua ma mèche comme à mon habitude pour l'ébourriffé avant de la remmettre en place.

Lizzy:- Sinon t'as passé une bonne journée?

Je repensa à ma journée pourrie avec les cours aussi ennuyeux que possible.

Comme à son habitude, quand il venait se baigner, il voulait prendre soin de sa coupe. Surtout qu’il met assez de temps à faire cette nouvelle coupe à la Sonic. Pourquoi avait-il décidé de changer de coupe ? Couper ses minis dreads pour pouvoir se faire une crête. Tout simplement parce que finalement il trouvait que les dreadlocks étaient assez chiante, et puis le jeune homme trouvait que cette nouvelle coupe de cheveux mettait plus en valeur son visage, plus particulièrement les traits fin de son visage. Ses yeux de couleurs noisettes étaient bien visible maintenant.
La jeune femme, il l’avait déjà croisé à plusieurs reprises dans les couloirs. L’androgyne ne lui avait causé, mais connaissait tout de même son prénom. D’ailleurs la fin de la phrase qu’elle prononça, il fit mine de réfléchir.

« Hein… ? »

Oui il n’avait pas vraiment comprit pourquoi elle lui avait dit ceci, mais rapidement il le comprit en sentant une grosse vague d’eau s’écraser sur son visage, et ainsi mouiller tout son corps, en passant bien évidemment par sa coupe, qui ne devait sûrement plus ressembler à rien. De plus, il était toujours maquillé, donc l’androgyne devait ressembler à un mort vivant, sûrement avec des traces de noires le long de ses joues.

« Non mais pour qui tu te prends de faire ça, à Moi ! Je dois sûrement ressembler à rien maintenant. »

Bill la regarda se foutre de lui, mais rapidement les rôles furent inverser quand celle-ci tomba dans un trou, pour ensuite disparaître sous l’eau. L’androgyne ne put s’empêcher de rire, quand elle fut remonter à la surface.

« Chacun son tour je dis ! »

L’androgyne continuait de rigoler avant de doucement de se calmer, passant ses mains sur ses joues et sous ses yeux, essayant d’enlever son maquillage qui avait sûrement dû couler.

« Pourris comme d’habitude, et toi alors ? »

Bill s’approcha doucement de la jeune femme, oui il voulait en quelque sorte se venger de l’avoir mouiller. Et puis il n’est pas du genre à se laisser faire. Quoi que pourquoi se venger, vu qu’elle était tombée dans ce petit trou. Comme s’il s’était formé pour se venger de l’androgyne.

« T’as du bol d’être tomber dans ce trou, sinon je me serais sûrement venger avec plaisir ! »

Mais finalement après mure réflexion, Bill finit par envoyer une vague d'eau sur la jeune femme.

Bill:- Chacun son tour je dis !

Oui je suis d'accords avec le chacuns son tour mais je n'aimait tout de même pas être surprise comme ça j'aurais pu me noyer pauvre de moi. Je chassa rapidement cette idée de ma tête avant de me rapprocher un peu plus de la profondeur où j'avais pied pour ne pas devoir flotter comme une imbécile à surface de l'eau.

Bill:- Pourris comme d’habitude, et toi alors ?

Lizzy:- Je crois que c'est parreil . A quoi ça peu nous servir les maths si on veux faire de la musique? Sinon elle a l'air de s'amélioré ma petite journée pourrie.

J'aurais cru que le jeune homme se serait venger de ma marré d'eau déffessant sa coiffure qu'il avait sans doute mis plusieurs heures à faire ce matin pour être gâchée par la petite fille insignifiante fille que j'étais vu sa réaction. La vengence est un plat qui se mange froid dis le dicton , ça tombe bien je trouve qu'il fait un peu chaud ses temps ci normal me direz vous on est en fin été et le soleil et la chaleur seraient encore de la partie un bout de temps encore. Mais alors si nous sommes à la fin de l'été pourquoi ces profs nous obligent déjà à assister à leurs cours alors qu'on pourraient en profiter encore un peu.

Bill:- T’as du bol d’être tomber dans ce trou, sinon je me serais sûrement venger avec plaisir !

Du bol moi? Mais je n'attendait que ça. J'aimais patogé dans l'eau pour me sentir vivante et la batailles d'eau me rappelaient un peu mon enfance sauf que dans mon enfance je nageais dans un lac . Bill semblait réfléchir à quelques chose quand soudain il m'envoya de l'eau en pliene figure. Je sortit doucement de l'eau lançant un regard sournois au jeune androgyne.

Lizzy:- Tu vas un peu regretter .

Je sauta , ramenant mes jambes contre ma poitrine fesant valser l'eau dans tout les sens mais une grosse partie sur Bill. Je remonta à la surface me secouant les cheveux comme un chien l'aurait fait avec sa foururre.

Lizzy:- La reine de la bombe!

« Ouai genre tu vas parler de math dans tes chansons ou encore d’Histoire Géographie… Enfin c’est comme ça »

Oui ça c’est vrai, c’est sûr que Bill est du genre à écrite combien font racine carré de vingt cinq dans ses paroles de musique. Ou alors où se situe l’Allemagne, que s’était-il passé en telle année. Pour ses paroles, ça ne lui servait pas à grand-chose. De plus, Bill venait d’écrire dernièrement pas mal de paroles intéressantes, qu’il devrait sûrement présenter au groupe prochainement, pour connaître leur avis sur ses paroles. Depuis petit ses paroles concernent sa vie privé, sa vie à son frère et lui. Comme le divorce des ses parents, et d’autres encore.
Enfin, Bill est du genre à dire le contraire de ce qu’il fait. En effet il venait de dire, à la jeune femme qu’il n’allait pas se venger parce qu’elle l’avait fait elle-même en tombant de ce petit trou. Mais au bout de quelque minutes, il avait décidé tout de même de se venger au moment où la jeune femme ne s’y attend, visiblement pas. Suite à cela, L’androgyne était morte de rire, chacun son tour à vrai dire. A la phrase qu’elle lui dit comme quoi elle allait un peu se venger, Bill continuait de rire.

« Tu me fais vraiment peur ! »

Evidemment ce n’est pas ça qui allait vraiment le faire peur. Mais il ne s’attendait pas à ce qu’elle saute dans l’eau et éclabousse jusqu’aux os, encore une fois, le pauvre jeune homme de vingt ans, qui ne demandait rien de ça.

« Tu parles ! La reine de rien du tout tu veux dire »

Bill rigola à nouveau, avant de passer sa main dans ses cheveux qui était tout raplapla sur sa tête et qui retombaient sur son front.

« Je ressemble plus à rien à cause de toi. Mon coupe et mon maquillage ont disparu. »

L’androgyne pensa à une chose, pourquoi il ne porterait pas et la balancerait après dans l’eau. Bonne et mauvaise idée. Bonne parce que c’est très efficace, mais mauvaise parce que quand on ressemble à Bill, porter une femme, même si elle n’est pas lourde reste quand même difficile.

« Bon je sors de l’eau, avant que tu refasses une catastrophe. Tu restes dans l’eau ou tu viens ? »

Le jeune homme tira légèrement sa langue faisant ressortir son piercing avant de sortir de l’eau, et aller s’assoir sur sa serviette.

Bill:- Ouai genre tu vas parler de math dans tes chansons ou encore d’Histoire Géographie… Enfin c’est comme ça

Cela était sur on peux toujours faire une chanson sur un moment précis de sa propre vie ou de quelques chose qui nous ai touché mais le reste? D'accord les langues peuvent nous aidé à écrire pour avoir une bonne grammaire ou éccrir en plusieurs langues pour être plus ouvert aux autre origine mais a-t-on besoin des math, de la géographie ou même des sciences pour écrire une chanson. A quoi nous servirais les triangle et comment calculer leurs airs si notre seule passion est la musique et rien d'autre. On choisis toujours , enfin pour moi en tout cas, des choses qui nous touche ou qu'il sait passé dans notre vie qu'on veux exteriorisé et mettre sur papier.

Bill:- Tu me fais vraiment peur !

Alors comme ça le jeune homme n'avait pas peur d'elle. Une chose que j'ai apprise lors de ma vie c'est qu'il faut toujours se méfier des filles car elle peuvent souvent être plus dangereuse surtout quand on ne les prends pas au sérieux. La bombe qui s'en suivit en étais ma réponse.

Bill:- Tu parles ! La reine de rien du tout tu veux dire

Lizzy:- Prouve moi que tu peux faire mieux alors.

Les défis c'est ce qui me réussissait le plus j'aimais être la meilleure mais je m'en prenait souvent plein la tronche dans se genre de choses. Souvent on me battait mais quel plaisir de savoir qu'on peux être la meilleure dans au moin un domaine autre que la musique malgré que celle-ci soit toute ma vie.

Bill:- Je ressemble plus à rien à cause de toi. Mon coupe et mon maquillage ont disparu.

Lizzy:- Sa te change un peu c'est vrai mais sa te va bien. On voit mieux les autres quan on est au naturel.

Bill:- Bon je sors de l’eau, avant que tu refasses une catastrophe. Tu restes dans l’eau ou tu viens ?

Une catastrophe moi? C'est vrai que je pouvais faire des catastrophes mais seulement quand je ne peux mettre un pied devant l'autre sans me faire un copain avec un buisson ou même un arbre.

Lizzy:- Ben je vais sortir. Être seule dans l'eau alors qu'on est accompagné fait cloche.

Je vit le jeune androgyne sortir de l'eau après m'avoir tiré la langue percé d'un percing en fer sobre et s'asseoir sur une serviette. Je sortit de l'eau avant de m'installer sur l'herbe faute d'avoir oublier ma serviette et alluma une cigarette tirée de mon paquet déposer sur mes vêtements.

Lizzy:- Oh tu en veux une?

Je ne savais pas s'il fumait mais autant en proposer une non?

Bill aussi s’inspirait beaucoup de son vécu, de sa vie. Comme une de ses chansons parlent du divorce de ses parents. Enfin la plupart de ses paroles qu’il a écrit parle de sa vie privé, de la vie de son jumeau et de lui-même. Oui son inspiration c’est ça. Donc oui les cours ne lui servaient pas à grand-chose c’est vrai. Juste l’anglais peut être sachant que de temps en temps l’androgyne se met à écrire en anglais. Alors oui il doit au moins connaître un minimum de la langue, de la grammaire et la conjugaison, enfin. Après question l’allemand, il n’a pas de questions à se poser, sachant qu’il s’agit de la langue maternelle.

Non le jeune homme de vingt n’avait pas peur d’une jeune femme. Normal, non ? Bon d’accord, Bill avait beau être maigre, et n’avoir pas beaucoup de muscles, ça ne l’empêche pas de ne pas avoir peur de Lizzy. Après tout, tout le monde dit que les femmes sont inférieures aux hommes, non ? Et bien Bill est tout à fait d’accord sur cette affirmation. Enfin la jeune femme lui demanda de faire mieux que ce qu’elle avait fait avant. Il fit mine de réfléchir. C’est vrai, n’ayant pas de muscles vraiment pas de muscles, trouvez mieux que la bombe serait assez compliqué. Il aimerait bien la porter et la jeter dans l’eau, mais pas assez de muscles, alors.

« Pas tout de suite… Peut être plus tard ! »

Oui Bill préférait laisser de côté le défis que lui avait lancé la jeune femme. Et d’ailleurs, il sortit même de l’eau. Enfin avant de faire ceci, il précisa que à cause d’elle, son maquillage et sa coupe ne ressemblaient à plus rien.

« Mais je ne m’aime pas au naturel »

Oui l’androgyne ne supportait tout simplement pas sortir sans maquillage, c’est comme s’il était nu. Bon finalement il finit par sortir de l’eau s’installa sur sa serviette, regardant Lizzy en faire de même, et s’assoir dans l’herbe.

« Mais qui te dis que je t’accompagne ? »

Bill se mit à rire légèrement, avant de regarder la jeune brune sortit son paquet de cigarette. En plus elle lui en proposa même une.

« Ouai pourquoi pas ! Merci ! »

Bill lui sourit, avant d’un prendre une de son paquet qu’il finit par allumer. Oui c’est vrai ce n’est pas bien de fumer, mais une fois que l’on a commencé, arrêté c’est autre chose.

« Faudrait que je ralentisse, parce que ce n’est pas super bon pour ma voix. Mais bon c’est pas facile. »

L’androgyne rigola légèrement, avant d’apporter la cigarette à sa bouche.

Bill:- Pas tout de suite, ... Peu être plus tard.

Plus tard, a quoi devais-je m'attendre? Peu être à rien en faites. D'accord je n'étais pas très grosse, mais je n'étais pas non plus légère et vue la corpulence de l'androgyne il n'allait pas pouvoir faire grand chose à par me chatouillé mais ç il ne sait pas que c'est mon point faible. En faites il ni avait que quelques personnes qui connaissais ce point là. Je n'étais pas très cachotière et je parlais souvent beaucoup mais je cachais souvent les trucs qui me mettaient dans une situation que je n'appréciait pas vraiment ou même dans une situation de faiblesse ou plus aucuns de nos membres ne voullais se calmer et rester au contrôle de notre tête.

Bill:- Mais je ne m'aime pas au naturel

Lizzy:- C'st souvent comme ça. C'est sans doute parce que tu t'es toujours ou presque vu avec du maquillage alors ça fait bizarre de se voir sans.

L'herbe était plutôt confortable et j'adorais la texture de celle ci. Oui je dois être une fille bizarre mais j'adore les sensation simple que nous procure la vie. Les choses simple je veux dire. Quand je découche de ma chambre et que je rentre au petit matin avant que Hell ne s'éveille je passe dans la prairie de l'école pied nus pour sentir cette herbe légèrement mouillé grace à la rosé carresser mes pieds nus.

Bill:- Mais qi te dis que je t'accompagne?

Lizzy:- J ne parlais pas d'accompagné dans ce sens mon cher Bill mais accompagné dans le sens être en compagnie de quelqu'un. Oh mais j'oubliais que tu étais venus avec l'homme invisible.

Bon d'accords la je me foutais un peu de sa tronche mais ce n'est pas pour lui faire du mal, bien au contraire mais j'adorais enquiquiner les gens et les chariés. Ma cigarette en bouche j'avala quelques bouffées avant de les recracher dans le vide. Bill accepta mon offre et en alluma une a son tour avant d'ajouter qu'il devrais diminuer sa consomation pour ménager sa voix, qu'il avait sublime soit dit en passant.

Lizzy:- Oui mais c'est tellement dur d'arrêter cette saloperie qui nous fait pourtant un bien fou.

La cigarette je l'avais commencé avec ma meilleure amie Andréa alors que nous étions emplie de stress et cela m'a déstressée à un point inimaginable. Andréa elle a failli s'étouffer avec la fumée et a décidé d'arrêté juste après avoir commencer et pour celà je l'admire. Je m'amusa alors a essayer de faire des ronds de fumées en l'air. La tête en arrière , apuyyée sur mes coude j'avala la fumée pour la recracher petit à petit. Mes rond ne resemblait à rien du tout et je crois que je ne suis pas douée pour ça à vrai dire. Après qelques essais complètement ratés je réussis enfin à en faire un correct.

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